(D'après PCWorld)
Si vous cherchez un moyen de désactiver Cortana, sachez que c'est toujours possible, même si Microsoft a rendu la tâche bien moins accessible en supprimant l'option dans le panneau de configuration de Cortana. Voici comment faire :
- Activez la combinaison touche Windows + R pour faire apparaître la boîte de dialogue Exécuter, tapez
regeditet validez. Le préhistorique éditeur de Registre s'ouvre. - Dans le panneau de gauche, naviguez vers
HKEY_LOCAL_MACHINE\Software\Policies\Microsoft\Windows. - Si la clé
Windows SearchsousWindows, ouvrez-la. Sinon, créez-la en cliquant droit surWindowset en choisissant Nouveau, Clé. Nommez la cléWindows Searchet ouvrez-la. - Cliquez droit dans la zone à droite et choisissez Nouveau, Valeur DWORD (32 bits). Nommez la valeur
AllowCortana(attention à respecter les majuscules et les minuscules). - Vérifiez que la valeur associée est bien
0x00000000 (0). Si ce n'est pas le cas, double-cliquez sur la ligne et tapez0. - Redémarrez la machine : Cortana est maintenant désactivée !
Nickel, comme ça quiconque parvient à pirater la serrure pourra rentrer chez toi et vider ton appart/ta maison en ton absence !
Aujourd'hui, alors que je voulais installer F-Droid sur mon vieux smartphone tournant sous CyanogenMod sans les Google apps, je me suis retrouvé bloqué par ce message au moment de lancer l'APK :

Je ne comprenais pas vraiment ce qui clochait. Finalement, l'ami Bat' sur Mastodon m'a dégoté cet article sur une méthode de résolution. Apparemment, cela vient d'un problème d'autorisation. Merci à lui !
Pour résoudre le souci, voici les étapes à suivre, en français dans le texte (testé sur Android 6.0) :
- Ouvrez les paramètres de l'application et rendez-vous dans la section Applications.
- Dans le menu hamburger en haut à droite, sélectionnez Afficher les processus système.
- Dans la liste des applications, recherchez le Programme d'installation du kit et appuyez dessus.
- Appuyez sur Autorisations : vous devriez voir une ligne Stockage, cochez-la.
- Retentez d'installer l'APK.
Voili-voilu !
« À l'origine, le nom "Windows Subsystem for Linux" faisait généralement référence à l'infrastructure du noyau Windows qui exécute les binaires Linux. Nous voulions expliquer ce que cela signifiait ainsi que décrire l'expérience de l'utilisateur final. Nous nous sommes référés à la fonctionnalité de l'utilisateur final comme “Bash sur Ubuntu sous Windows”, ou plus simplement “Bash sous Windows”.
[…]
« […] pour aller de l'avant, nous n'utiliserons plus le nom de la fonctionnalité "Bash sur [Ubuntu on] Windows" !
« Au lieu de cela, nous utiliserons le “sous-système Windows pour Linux” (WSL) […]. Les distributions seront simplement connues par leurs propres noms - Ubuntu, openSUSE, SUSE Linux Enterprise Server, etc.
« Ainsi, à l'avenir, les conversations se dérouleront comme suit: “Linux fonctionne très bien sous Windows / WSL” ou “je lance Ubuntu sur WSL” ou “avez-vous essayé openSUSE sur WSL”. Nous pensons que vous serez d'accord que c'est plus simple, plus propre, et nécessite DE LOIN moins de mots et de dactylographie. »
Ça me rappelle une diatribe récente de Stallman qui disait craindre une stratégie de Microsoft ayant pour but « d'éteindre un logiciel que les gens peuvent utiliser, copier, distribuer, étudier, modifier et améliorer »… J'étais sceptique, mais cette nouvelle annonce semble aller dans son sens : d'ici quelques années, tombera-t-on sur des gens qui, ne connaissant pas Linux mais en ayant entendu vaguement parler, croiront que c'est une fonctionnalité de Windows ?
Rien de bien nouveau, donc.
On voit bien que c'est un anglo-saxon qui parle… Dans quelle langue seront écrites les documentations si l'on arrête d'apprendre l'anglais à l'école ?
Assez-t-il tout étant, je n'ai jamais aimé cette idée qui consiste à vouloir apprendre à coder dès l'école primaire…
D'une part, les enfants ont déjà suffisamment à faire comme ça pour en plus leur ajouter des cours sur ce genre de chose (d'autant plus que tous ne veulent pas forcément devenir développeur plus tard). De plus, j'ai l'impression qu'on essaie de « forcer » les élèves à apprendre un métier, au risque de se retrouver une surpopulation de développeurs plus tard, et donc d'un déficit de personnes dans les autres métiers.
Je sais bien qu'on parle ici surtout de coder des petits robots mignons à des enfants de primaires, mais vu les dires de Tim Cook et d'autres, je sens que d'ici quelques temps, on va carrément avoir des cours de développement plus poussés au collège et au lycée… et dans ce cas, à quoi serviront les études d'informatique ?
Un petit script pour Linux permettant de réduire drastiquement la taille d'un fichier PDF sans perdre en qualité. Pratique quand on crée un PDF mais que celui-ci pèse très lourd (c'est notamment le cas quand on scanne un document).
D'après Microsoft, ce qui fait que ces versions mobiles de son navigateur se démarquent vraiment, c'est la possibilité de continuer votre navigation sur votre PC en quittant votre appareil mobile. Une fonctionnalité « Continuer sur PC » vous permet en effet d'ouvrir immédiatement sur votre PC une page que vous avez consultée sur votre appareil mobile ou l'enregistrer pour la consulter plus tard.
Une fonctionnalité déjà disponible depuis longtemps sur Firefox pour peu que l'on se soit authentifié sur sa fonctionnalité Sync.
Il faut également noter qu'au lieu d'utiliser le moteur de rendu EdgeHTML de Microsoft, les versions Android et iOS sont construites sur le moteur de rendu natif des différentes plateformes, c'est-à-dire Blink sur Android et WebKit sur iOS.
Un choix étonnant sachant que sur Android, rien n'interdit d'utiliser son propre moteur de rendu (Firefox le fait, d'ailleurs).
Bref, en clair, rien de bien intéressant ici…
Aux États-Unis, on a le droit d'être néo-nazi et de manifester en faveur de la suprématie blanche, mais il est interdit d'être hostile au pouvoir en place.
Un magnifique pays que les États-Unis…
Utiliser un peu de ressource du visiteur pour miner de la cryptomonnaie me semble une idée intéressante en tant qu'alternative intéressante aux publicités, à partir du moment où cela est fait dans la limite du raisonnable.
Je pense pour ma part que cela ne devrait se faire que sous deux conditions :
- si l'utilisateur a donné son consentement (ou bien s'il ne s'est pas opposé à cette pratique, à voir) ;
- si le terminal est suffisamment puissant pour ce genre de chose.
À noter que nous sommes arrivés dans une ère où la plupart des visites sur le Web se font désormais sur un smartphone, donc gare à l'utilisation de la batterie…
C'est assez cocasse, comme faille !
Les « abysses » pour le deep Web, je trouve ça plutôt classe, personnellement :)
Bon par contre, pour le dark Web, ils ont clairement mal compris de quoi il s'agissait… Espérons qu'ils proposeront un autre terme pour corriger ça…
Si vous avez CCleaner version 5.33 ou suivantes installé sur votre PC, vérifiez que vous n'avez pas chopé un malware. Dans le doute, faites une restauration du système à une date précédant le 15 août.
Éventuellement, vérifiez aussi si vous n'avez pas les clés citées dans l'article dans votre base de registre.
Si vous utilisez ce clavier pour Android, désinstallez-le.
Certains termes semblent sortir de nul part (« lutte informatique offensive » pour computer network attacks ???), mais au moins ce ne sont pas des mots qui font passer celui qui les utilise pour un idiot. Confère le « filoutage », traduction du mot « phishing » (les Québecois avaient pourtant proposé une traduction qui me semblait bien meilleure : « hameçonnage »).
Dans tous les cas, je ne commencerai à respecter leurs recommandations le jour où ils corrigeront la traduction de hashtag (actuellement « mot-dièse »), qui devrait s'appeler « mot-croisillon », plus moche, certes, mais plus correct :
- le dièse (♯, sharp en anglais) est un symbole utilisé en musique pour augmenter la hauteur d'une note d'un demi-ton ;
- le croisillon (#, hash en anglais) est un symbole typographique servant notamment en informatique pour les hashtags (mot dans lequel on retrouve bien le mot hash, d'ailleurs).
Ah et en fait, le langage « C-sharp » de Microsoft d'écrit en fait C♯. Mais bon, vu que le dièse est difficile d'accès sur les claviers, on va passer l'éponge :p (astuce : si vous êtes sous Linux, vous pouvez obtenir le symbole ♯ avec la combinaison Compose, #, #)
Chacun utilise l'OS qu'il préfère, mais y'a quand même des limites… Le patron de la Fondation Linux a le droit d'utiliser macOS, mais de là à ne pas utiliser du tout l'OS qu'il est censé défendre…
À noter que sous Ubuntu (du moins, de souvenir), une fonctionnalité similaire est proposée par le logiciel Ubuntu Tweak.
Le fait qu'Apple ne propose pas un support complet de NTFS sur son OS est assez frustrant. Heureusement, cela se corrige aisément.
Note : pour la méthode 2, à l'étape d'installation de ntfs-3g, remplacez la commande :
brew install homebrew/fuse/ntfs-3g
par :
brew install ntfs-3g
Et du coup, la première commande n'est pas nécessaire 🙂
Pas considéré comme une faille critique en soi, mais peut permettre de mener des attaques dans le but de piquer des données personnelles de l'internaute, ou même intercepter ses frappes au clavier sur une page Web.
Réponse des éditeurs des navigateurs principaux :
- Google : corrigée
- Apple : corrigée
- Mozilla : pas concerné par la faille
- Microsoft : osef, c'est pas un bug mais une fonctionnalité
En réponse au post d'hier.
Du coup, un professeur en science informatique a développé un site indiquant à partir d'une URL vers un article de recherche, si le problème P=NP a été ou non résolu 😛